une mer d’amour

largeJe ne sais pas si je suis quelqu’un de bien,
mais si je le deviens, c’est de ma mère que je le tiens.
Je ne veux pas être mère, mais je veux bien être comme la mienne.
Je ne suis pas capable de m’aimer, mais elle je peux.
Je ne crains pas autant ma mort que la sienne.

En gros, je l’aime.

Je n’ai jamais parlé de mes parents, je me suis dit qu’il était temps.
Elle ne lira pas cet article, mais je sais pas, c’est comme une petite bougie qu’on allume dans une église quand on pense à quelqu’un. (bon je côtoie assez peu d’églises mais vous avez compris la métaphore) (la bougie sent le jasmin si vous voulez visualiser… enfin imaginer l’odeur… enfin voilà…)

Aujourd’hui c’est pas vous que je keur, c’est elle.
C’était court et gnangnan mais anniversaire oblige.
(promis je redeviens dark bientôt)
Il fallait bien que j’avoue mes sentiments avant d’avoir 16 ans.
Allez on se retrouve quand j’ai ma carte vitale.

Lili.

2 réflexions sur “une mer d’amour

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