Lorsque j’ai récemment cherché des sujets d’article, n’ayant pas eu ce bienheureux éclair d’inspiration, je me suis refusé d’écrire quoique ce soit à propos de Noël.
Parce que, disons-le franchement, c’est 1. la facilité 2. très vite lassant.
Et puis je me suis dit qu’il n’y avait pas de mal à se fondre dans la masse de temps en temps, et qu’il ne fallait pas se priver de parler de quelque chose qu’on aime sous prétexte que tout le monde aime aussi.
Et puis j’en parle assez tôt pour qu’on ne soit pas tous encore submergés sous le flot de vidéos, de posts, de conseils, de photos, de tweets, qui déferlent pourtant déjà depuis mi-novembre.
Et puis merde, parfois il faut arrêter de réfléchir.
Alors, voilà, je n’ai pas honte de le dire, j’aime Noël. Je n’ai pas été élevée dans la religion chrétienne mais cette fête a toujours tenue une place importante dans ma famille, avec beaucoup de traditions et de rituels.
Chez moi, on a un sapin, un calendrier de l’avent, des guirlandes et des cadeaux.
Et j’aime ça. Et peut-être que c’est mal, évidemment que ça pousse à la consommation, et qu’on pourrait voir sa famille à d’autres occasions que le 24 décembre. Mais ce n’est qu’un prétexte pour se dire et se montrer qu’on aime. Et bien (trop) manger. Et feuk les rageux.
Mais cette année, je n’ai pas le même engouement. J’ai ramé pour me faire une wishlist digne de ce nom, ce qui est plutôt inhabituel, et je n’ai pas décoré mon sapin avec le même entrain.
Peut-être que je grandis, peut-être que Noël perd de son charme ou peut-être sont-ce les circonstances qui rendent ma fête préférée si amère…
Peut-être aussi que c’est aussi lié au fait que je sois dans le besoin financier intense et dans l’incapacité d’acheter ou bien même de faire des cadeaux à mes proches.
Quoiqu’il en soit, je ne désespère pas, et vous aurez de mes nouvelles très vite!
Je vous keur plus fort que jamais.
Lili.
(oh je ne sais pas si je vous l’avais déjà dit mais je suis une fan de rênes! (pour l’anecdote fascinante mon ancien téléphone s’appelait Rudolph))